Mozart – Beethoven 6 – Boléro

Prima Donna Events présente Le Boléro aux sons enchanteurs de Maurice Ravel, par le Malandain Ballet Biarritz. Les talentueux danseurs du Malandain Ballet Biarritz présentent un spectacle visuel époustouflant ! La sublime chorégraphie de Thierry Malandain et ses mouvements sensuels sur les mélodies irrésistibles de Maurice Ravel créent un spectacle visuel qui excite les sens.

Ce n’est pas un spectacle comme les autres, c’est un voyage à travers l’émotion, la grâce et la perfection artistique. Faites l’expérience d’un programme de danse à couper le souffle, une fusion brillante de musique et de mouvement. Mozart – Beethoven 6 ‘La Pastorale’ – Boléro

Jeudi 31/10/2024 à Concertgebouw Brugge, Vendredi 1/11/2024 à Stadsschouwburg Antwerpen et le samedi 2/11/2024 à Capitole Gent. Ne manquez pas ce moment culturel fort !

PROGRAMME

Beethoven 6 ‘La Pastorale’ (45 minutes) – Pause – Mozart (35 minutes) – Pauze – Boléro (15 minutes)

ÉQUIPE CRÉATIVE

Musique : Maurice Ravel
Chorégraphie : Thierry Malandain
Décor et costumes : Jorge Gallardo
Création lumière : Jean-Claude Asquié
Durée de la représentation : 1h35 avec deux entractes (durée totale environ 2 heures)

Photos de scène

Image de scène Prima Donna Events
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Image Prima Donna Events

​Le Boléro ​​

Soumis au thème orchestral obsessionnel de Ravel, douze danseurs évoluent presque sans âme dans un espace clos et confiné. Lorsque le final libérateur retentit, ils se libèrent, se heurtent au silence, se sentent « enfermés ».

Commandé par la danseuse russe Ida Rubinstein, amie et mécène de Maurice Ravel, ce ballet « à caractère espagnol » a été créé par la compagnie Rubinstein, dans une chorégraphie de Bronislava Nijinska. Le Boléro a été créé à l’Opéra de Paris le 22 novembre 1928.

« Dans le synopsis, l’action se déroule dans une taverne andalouse, où une gitane dansant sur une table provoque une euphorie sensuelle chez les hommes.”

Je me suis écarté de ce récit, mis à jour par Maurice Béjart en 1961, pour me concentrer uniquement sur le motif musical que Maurice Ravel répète obsessionnellement jusqu’à l’apothéose finale. Le compositeur n’a pas caché le style « musico-sexuel » de ce crescendo orchestral et de ce final.

Plutôt que de montrer ce parallèle érotique, j’ai choisi de représenter la liberté qui se dégage peu à peu de l’enfermement et j’ai relevé le défi d’enfermer les danseurs dans un espace confiné et restreint. Cette limitation consiste en l’unicité et la répétition mécanique du thème musical, qui explose littéralement dans un final intense, suivi d’un silence où les danseurs se sentent « enfermés ». – Thierry Malandain

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@primadonnaevents